LA DIMENSION SPIRITUELLE EN FIN DE VIE

Une présence à l’écoute pour mobiliser les ressources intérieures de la personne selon son histoire.

Cette journée de formation permet, par un apport à la fois conceptuel et puisé dans l’expérience, de revisiter la spiritualité comme une ressource, comme une des clefs de l’accompagnement des personnes en fin de vie, selon leurs parcours.
Elle vise à inciter les professionnels à explorer cette dimension spirituelle de la personne accompagnée pour y prendre appui et la mobiliser, dans cette période charnière de la toute fin de vie.
Elle souligne l’importance de la laïcité, garantissant à chaque personne le respect de ses convictions et la possibilité de pratiquer le culte de son choix.

Préciser l’articulation du religieux au sein de la dimension spirituelle. Distinguer le psychologique et le spirituel.
Définir le besoin spirituel : la question du sens, des valeurs, de la transcendance et de l’identité. Le concept de souffrance spirituelle.
Cadre législatif, réglementaire et déontologique : entre individu et espace public : la garantie de la liberté de chacun à pratiquer ou non la religion de son choix dans un espace commun neutre.
Conception, rites et soins. Impacts sur l’accompagnement de la personne et de son entourage, sur la représentation de la santé, de la maladie, de la vieillesse. Respect de ses convictions, de son culte, de ses directives anticipées.
Permettre à l’autre de faire son bilan de vie, de solliciter ses ressources intérieures, de verbaliser progressivement la mort qui approche.
Des modalités ouvertes selon les personnes.

1 jour de formation en intra établissement.

IDE en gériatrie (D.U de base en soins palliatifs, D.I.U d’Alzheimérologie et maladies apparentées). Co-auteur du livre « Récits de soins, récits de vie, récits de foi », éd. de l’Atelier.